Selon une étude récente, poster et consommer du contenu revient à émettre du CO2. Une journée de surf sur le web et d’utilisation des réseaux pollue autant qu’un véhicule léger qui parcourt 1,4 km. Soit 165,6 gEqCO2 - gramme équivalent au gaz carbonique - par utilisateur et par jour.
Réutiliser du contenu ?
En communication, il arrive de réutiliser les contenus pour améliorer le référencement naturel. On peut toucher du public différemment, le surprendre, voire même améliorer notre taux d’engagement.
L’intérêt du point de vue éthique est d’utiliser cette technique à des fins à la fois environnementales et de communication.
Nous augmentons la durée de vie de nos créations et diminuons nos émissions de CO2.
Efficacité et reconversion
S’il n’est pas envisageable de stopper la création de contenu, nous pouvons faire un effort en recyclant de temps en temps des contenus intéressants et efficaces ou en postant sur d’autres réseaux des créations initialement conçues pour Instagram ou Facebook en veillant à respecter les attentes des abonnés des différents réseaux. L’analyse des posts réutilisés sera fondamentale pour les rendre efficaces. L’originalité de leur conversion en infographie, podcast, réel ou vidéo en direct est une solution intelligente.
Une autre possibilité pour développer cet aspect environnemental est de mettre à jour une publication pour diriger les abonnés vers de nouvelles informations. Ceci par le biais d’une story par exemple.
Plus de matière grise, moins de CO2 !
Nous sommes constamment en recherche de solutions pour conforter notre éthique et réduire notre impact sur l’environnement.
Nous utiliserons cette technique de recycling avec tact et parcimonie.
En conclusion de notre analyse, nous dirions ceci : plus de matière grise, moins de CO2 !