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Arrêt sur image. FUN!ETHIC vend - plus que - du rêve, des cosmétiques naturels et bio, sains, efficaces à petits prix. Mais pour quel avenir ?

Parfois il faut savoir s’arrêter pour se ressourcer en optimisme et en positivisme. Et ce n’est pas uniquement lié à une attitude d’entrepreneuse convaincue…

Allain Bougrain-Dubourg : "En soulageant l'animal, on fait l'apprentissage de la solidarité humaine"

Ma journée débute par la lecture d’un article de l’Info Durable au titre prometteur rédigé par « Allain Bougrain-Dubourg : "En soulageant l'animal, on fait l'apprentissage de la solidarité humaine".
En voici un extrait :

« Pire, on baisse le voile sur la souffrance animale en usant de mots n'affectant pas notre sensibilité. Ainsi, à la chasse, on ne tue plus, on "prélève" ; dans les cirques on ne dresse plus, on "éduque" ; les élevages industriels sont devenus "conventionnels", tandis que dans les abattoirs on ne saigne plus sans insensibilisation, on pratique le "rituel". »

L’auteur embraye ensuite sur la richesse de la langue française, utilisée à bon ou mauvais escient et nous amène à découvrir « Le concours régional d’Eloquence ».

Laisser la parole à la jeunesse

Notre jeunesse a besoin de s’exprimer, de faire entendre sa voix, de nous aider à comprendre et mieux appréhender ce monde tel qu’elle le perçoit. Alors STOP – Arrêtons le temps quelques minutes pour découvrir le Concours Régional d’Éloquence auquel ont participé 14 lycéens de classes de secondes et premières des lycées de la région de Toulouse.  Le but de ces joutes verbales est de réaliser un exercice de prise de parole argumenté, en public, dans une démarche civique affirmée. Leur sujet : "la protection des êtres sensibles".

Le sujet : « La protection des êtres sensibles »

Je poursuis mes recherches et me demande comment nos jeunes se saisissent de cette question. L’actualité regorge d’exemples tous plus sordides les uns que les autres en parallèle de l’étude d’une loi sanctionnant plus fermement la cruauté animale sur les animaux de compagnie.
Ces jeunes ont présenté leurs plaidoiries en visioconférences, entourés de leurs camarades et professeurs - crise sanitaire oblige - devant un jury présidé par Louis Schweitzer, Président de la Fondation Droit Animal.

Plus que des mots

Je vous présente :

Et vous invite à découvrir : Hugo, Sacha, Elsa, Julie, Jordane, Jenna, Mélissa, Margot, Selma, Margaux, Johanna et David.

Notre avenir est plein de ressources. La première d’entre toutes est notre jeunesse, sensible, réaliste et réfléchie. Ecoutons les.
De notre côté, nous ne dérogerons pas à nos valeurs fortes, notre cosmétique engagée, non testée sur les animaux ainsi qu'à notre ambition marquée de démocratiser la cosmétique bio française. La relève est assurée.